Le texte récent de Juan Branco est alarmant, alléguant l’existence d’un plan d’élimination ourdi au plus haut niveau du gouvernement sénégalais. Bien que ces allégations soient graves, elles soulèvent également des questions cruciales quant à la transparence, la légalité et l’éthique dans la politique et les opérations internationales.
La prétendue réunion au Palais présidentiel de Dakar, impliquant Aïssata Tall Sall et des agents français d’AVISA Partners, est une source de profonde préoccupation. Si de telles réunions ont eu lieu, il est impératif de faire la lumière sur leur objet et les actions planifiées. Tout plan d’élimination est contraire aux principes les plus fondamentaux des droits de l’homme, de la démocratie et de l’État de droit.
L’accusation selon laquelle AVISA Partners serait liée à l’Élysée et utiliserait ses ressources pour détruire des opposants et exercer de l’influence à l’étranger est tout aussi troublante. Cela mettrait en péril la confiance dans l’intégrité des processus politiques et diplomatiques, et cela ne peut être toléré.
Cependant, il est essentiel de rappeler que ces allégations restent des allégations à ce stade, et elles doivent être soigneusement examinées par des enquêtes impartiales et transparentes pour établir la vérité. La justice doit prévaloir, et ceux qui sont coupables d’actes illégaux doivent être tenus responsables.
En fin de compte, il est impératif que la communauté internationale, les organisations des droits de l’homme et les citoyens du monde condamnent catégoriquement tout plan d’élimination ou de répression politique, où qu’il se produise. La préservation des droits fondamentaux et de la dignité humaine ne doit jamais être compromise, et la vérité doit être établie pour que la justice soit rendue.