Certains de mes collaborateurs travaillant au recueil de preuves sur le terrain pour la CPI ont reçu ce message:
« Nous savons que vous collaborez avec cet anarchiste de Juan Branco pour nous faire tomber. Nous t’avons à l’œil. »
Réponse assez simple: c’est nous qui vous avons à l’œil, et si vous touchez à un seul de leurs cheveux, ça va très mal se passer pour vous.